Publi-information

Serveurs, cloud… quelle est la meilleure solution pour stocker et protéger ses données ?

Serveurs, cloud… quelle est la meilleure solution pour stocker et protéger ses données ? Dans un contexte de digitalisation accrue, la gestion et la protection des données sont des enjeux essentiels pour les entreprises. Certaines solutions proposent d'adapter le coût en fonction de l'utilisation réelle.

Porté par le cloud computing, le modèle économique as-a-service a confortablement pris place dans la stratégie numérique d'un grand nombre d'organisations, quelle que soit leur taille. Vecteur de transformation en raison de son agilité technique et budgétaire, il a néanmoins pour corollaire le déplacement d'une large partie des systèmes d'information auparavant implantés entre les murs de l'entreprise au profit d'une installation en ligne. C'est le cas des suites bureautiques, des outils de gestion (ERP, CRM, etc.), des outils d'analyse marketing, pour n'en citer que quelques-uns. La quasi-totalité du parc applicatif mondial est aujourd'hui concernée par cet exode numérique. Mais dans ce tumulte qu'on appelle le "Move 2 Cloud", il est une constante, dont la prise en charge reste (et doit rester !) aux mains des établissements : il s'agit de la donnée. Soumise à des fluctuations inégalées jusqu'alors, la data est devenue stratégique, voire critique. Surtout, elle s'est démultipliée. En 2010, on estimait à deux zettaoctets (deux mille milliards de gigaoctets) le volume de données numériques créées ou répliquées dans le monde. En 2020, il était 38 fois plus important et devrait atteindre les 181 Zo d'ici 2025 (source : Statista).

Un enjeu, trois possibilités

Pour stocker leurs informations, les organisations ont désormais plusieurs possibilités. La première est d'appliquer une méthode classique, on-premise, à savoir le recours aux serveurs locaux. Dans ce cas de figure, elles choisissent de conserver leurs propres centres de données en interne, ce qui leur permet un contrôle total sur leur infrastructure, mais implique l'achat, la configuration et la maintenance de serveurs, de dispositifs de stockage et de systèmes de sauvegarde sur place. Ensuite, à l'instar de ce qui se passe dans l'univers du software, de plus en plus d'entreprises migrent vers le stockage en nuage, où les données sont hébergées sur des serveurs distants gérés par des fournisseurs de services, comme Dell APEX Data Storage Services, et qui offrent une flexibilité d'échelle, une accessibilité mondiale et un modèle de paiement basé sur l'utilisation. Enfin, il existe une troisième manière de procéder, qui prend le meilleur de chaque méthode en combinant le stockage en nuage avec des serveurs locaux. Cela permet une certaine redondance et une souplesse accrue pour mener différents types de charges de travail. On parle dans ce cas-là d'approche "hybride".

Dell rend le stockage as-a-service on-premise possible

Si chaque approche a son modèle technologique propre, la firme de Michael Dell a donc dû relever le défi de fournir un dispositif économique quasi similaire pour chacune d'entre elles avec un stockage as-a-service évolutif et élastique, qu'on soit on-premise, online ou hybride. Surtout, l'idée était de ne pas pénaliser les organisations non éligibles à un accès cloud en les privant du paiement à l'usage. Pour ce faire, dans les cas d'une architecture sur site, les abonnements Dell APEX Data Storage Services prévoient le pré-déploiement d'une capacité tampon afin de réduire les frais du sur-provisionnement et le risque de sous-provisionnement. Cette capacité tampon peut évoluer en toute flexibilité à la hausse et à la baisse et sera facturée en fonction de l'usage et sans surcoût. Un modèle économique qui va sans nul doute ouvrir de nouvelles voies d'exploration à des structures souvent cantonnées à une informatique interne pour des questions réglementaires.